Un peu en retard pour ce *Mois/Emoi de Martine….
Dans le monde ce n’est pas brillant comme d’hab!
Grèce : Les secousses continuent en Crète bien que, **seulement** de maximum 3,0. Mais, catastrophes majeures dans de nombreuses régions de l’ouest de la Grèce à cause du mauvais temps qui a frappé le pays. Glissements de terrain à Zakynthos et Nafpaktos – D’importants dégâts aux unités hôtelières et aux maisons laissées par la tornade qui a frappé tôt jeudi matin Kalamaki Zakynthos à cause des pluies torrentielles. Il y eu un mort tout de même…
Palma, bien sûr ce volcan qui n’en fini pas de cracher sa colère, avec tous les dégâts que cela implique pour la population!
Au lycée d’Oxford (Michigan), Mardi un adolescent tire et tue trois élèves et en blesse huit autres
Covid et maintenant Omicron, les cas augmentent on se rebarricade. Quand en sortirons nous?
Guadeloupe qui s’embrase les touristes qui *pourrons* y aller puisque c’est la pleine saison maintenant vont-ils le vouloir? La saison risque d’être ruinée avec covid et, tensions sociale….La Martinique n’est pas en reste!
Perso : Vous avez connaissance de mes angoisses pour maman, on ne vas pas y revenir.
Vu un film magnifique que j’avais enregistré il y a déjà pas mal de temps : Nowhere in Africa de Carole Link qui retrace la vie (l’enfance) de Stéphanie Zweig. Sorti en 2001 en Allemagne et en 2004 en France.
En 1938, fuyant une Allemagne de plus en plus inhospitalière pour les Juifs, les Redlich partent s’installer au Kenya où Walter, avocat de formation, s’occupe désormais d’une ferme. Son épouse, Jettel, issue d’une famille aisée, a toutes les peines du monde à accepter cette rupture. Seule leur fille, Régina, s’adapte et découvre ce nouveau monde en se liant d’amitié avec Owuor, leur cuisinier kényan. Jettel et Walter vont de plus en plus mal. Il leur faudra du temps pour s’acclimater. Mais la guerre s’achèvera un jour, et viendra l’heure du choix.
Un autre film qui m’a marquée Wonder avec Julia Robert et Owen Wilson dans le rôle de l’enfant Jacob Tremblay, alors âgé de 10 ans, qui a notament joué et fut remarqué dans le film Room (2016), inspiré de la séquestration de Natascha Kampusch.
Ce film est tiré du livre éponyme de R.J. Palacia publié en 2012, l’œuvre cinématographique retrace l’histoire d’Auggie, un jeune garçon né avec une malformation du visage. Lorsqu’il entre au collège, il doit affronter la cruauté des autres enfants. Ce film donne une formidable leçon de vie et bouscule notre regard sur le handicap.
Peut-on enfin espérer un joli Mois/Emoi fin décembre?
merci pour tes nouvelles internationales. Bises
de rien Andrée. Bisous bon dimanche
Bonsoir, toujours des catastrophes …mais essayons de rester positif ! On est tous inquiet pour l’avenir !
Gardez le morale st primordial Maposie..Bisous
Beaucoup de négatif , mais comment faire autrement?
Je suis très attirée par le film Wonder , en tant que professionnelle j’ai malheureusement vécu le drame de l’enfant différent !
Douce soirée, bises Renée
Très poignant ce film Erato. Bisous
Coucou Renée ! Oui le monde va mal c’est désolant .Tu me fais découvrir 2 films merc .
Bises bonne soirée !
Les 2 excellents Marmotte. Bisous
Bonjour Renée, contente de trouver le commentaire ouvert. Je suis passée hier, et je ne pouvais pas écrire.
Oui, tu as raison, dans le monde, ce n’est pas toujours super, en effet, hélas.
Que tout se passe bien pour ton maman, est mon meilleur souhait.
En route dans ce mois de décembre ; qui vivra verra s’il sera meilleur, hein !
Bonne fin d’après-midi et douce soirée,
Bisous♥
Merci pour maman Colette c’est très gentil..
Ce mois débute bien bien mal avec les cas qui grimpe en flèche…..
J’avais fais une erreur avec les coms. Bisous bisous pareil merci
En effet, c’est plus facile comme ça pour commenter.
C’est fou ces tremblements de terre qui durent aussi longtemps, ça fait peur.
Bon week-end.
C’est encore plus fou le volcan qui crache depuis tant de temps Claudie. Bisous
Heureusement que tu as eu les films pour faire un mois acceptable.
Bisous René
C’est vraiment le cas de le dire, suis dans une mauvaise passe fallait bien que ça arrive Pimprenelle, c’est vie ça va ça vient. Bisous