Sentiment méprisant qui n’est pas dérisoire, Mais tout aussi tranchant qu’une lame de rasoir. Il vous coupe les jambes, vous fait froid dans le dos, Vous empêche de courir, même d’un tout petit trot.
La terreur au pouvoir, vous gisez là sur place, Vous perdez tout espoir, vous craignez de faire face. Elle arrête votre cœur ou augmente sa cadence, Elle allonge les heures, paralyse votre danse.
Quand la crainte vous prend, elle contrôle vos gestes. Une boule dans le ventre, elle n’est pas très digeste. Comme une statue de marbre, vous perdez le contrôle, Votre corps ne bouge pas, pour l’esprit c’est pas drôle.
Son regard est de glace, et le votre en effroi, Elle laisse une trace de morsure à sa proie. A mordue votre esprit, ébranlé votre confiance, Votre courage est parti, il vous reste la méfiance.
Sentiment qui pourtant, est présent chaque jour, Dans le noir vous attend, ou au coin d’un carrefour. Tôt tout tard il faudra, l’affronter une fois, Quand ce jour arrivera, vous serez tous des Rois.
Pour le lundi 27 février
D’inventer une histoire à partir de ce tableau
<<Fuyant la critique>> de Pere Borrell del Caso>>
Il voulait sortir, s’enfuir enjamba le rebord
A droite a gauche garda dehors.
Il n’en pouvait plus d’être méprisé
De tous était railler.
Avec courage enfin
Il pris en main son destin.
D’un bond profitant de la confusion
C’était pour lui, la seule solution.
Pour le jeudi 2 mars
Le thème du fantastique en poésie
MON BISAÏEUL de Aloysius Bertrand
Les vénérables personnages de la tapisserie gothique, remuée par le vent, se saluèrent l’un l’autre, et mon bisaïeul entra dans la chambre, – mon bisaïeul mort il y aura bientôt quatre-vingts ans !
Là ! – c’est là devant ce prie – Dieu qu’il s’agenouilla, mon bisaïeul le conseiller, baisant de sa barbe ce jaune missel étalé à l’endroit de ce ruban.
Il marmotta des oraisons tant que dura la nuit, sans décroiser un moment ses bras de son camail de soie violette, sans obliquer un regard vers moi, sa postérité, qui étais couché dans son lit, son poudreux lit à baldaquin !
Et je remarquais avec effroi que ses yeux étaient vides, bien qu’il parût lire, – que ses lèvres étaient immobiles, bien que je l’entendisse prier, – que ses doigts étaient décharnés, bien qu’ils scintillassent de pierreries !
Et je me demandais si je veillais ou si je dormais, – si c’étaient les pâleurs de la lune ou de Lucifer, – si c’était minuit ou le point du jour !
Un grand merci Renée pour ce trois en un . J’aime beaucoup les poèmes que tu as choisis qui collent parfaitement au thème demandé . Une interprétation aussi du tableau de Pere Borrell Del Caso qui me plait , cette fugue comme une soupape de sécurité pour une vie qui l’enferme dans la critique .
Bon samedi Renée
Bises
un poème qui décrit remarquablement la peur et ses effets
un poème ensuite qui accompagne si bien la fugue de cet ado
un texte enfin où le fantastique rejoint l’effroi
bises et belle journée
Bonjour René. Le poème sur la peur est assez effrayant. Je ne crois pas que l’on devienne Roi ou Reine lorsque l’on meurt. Ta participation autour de « Fuyant la critique » me plait bien. Bonne journée et bisous
Bonjour Renée, j’ai vu sur son lit de mort mon premier défunt à l’âge de 12 ans… une voisine, je n’ai pas eu peur, la personne dormait, paisiblement… Mais dans la vie on connaîtra tous une peur !! Merci, bises jill
<<Fuyant la critique>> de Pere Borrell del Caso>>
Un défi bien relevé. La dernière poésie me donne les chocottes. Bises
Ce ne sont que des mots Andrée, Bisous bon mardi
Une belle participation
Bon samedi
Bisous
Merci Christelle bon dimanche bises
Bien vus !
La peur est bien décrite
Bisous Renée
Merci Béa c’est gentil, Bisous doux weekend
excellente participation à ce défi
j’aime beaucoup ton choix poétique
Merci Josette c’est gentil, Bisous doux weekend
Un grand merci Renée pour ce trois en un . J’aime beaucoup les poèmes que tu as choisis qui collent parfaitement au thème demandé . Une interprétation aussi du tableau de Pere Borrell Del Caso qui me plait , cette fugue comme une soupape de sécurité pour une vie qui l’enferme dans la critique .
Bon samedi Renée
Bises
Ravie que tu aimes Gisèle, Bisous doux weekend
tu fais peur LOL
Un grand garçon comme toi? Bisous doux weekend
Mais quel talent tu as!!! Ces textes sont dignes d’un grand auteur!!!!! Bises
Les poème sont d’auteurs Jacqueline…Bisous doux weekend
Trois magnifiques propositions pour les thèmes imposés par notre Jazzy, bravo Renée.
Bises et bon samedi – Zaza
merci Zaza c’est gentil. Bisous doux weekend
Bravo pour tes défis si bien relevés, mais c’est très dommage qu’on ne voit pas le tableau en question ?
Bisous et bonne soirée
Parce oubli de le mettre Livia je rectifie de suite, Bisous doux weekend
Bravo Renée pour tes 3 textes ! Je te souhaite un bon week-end. Bisous.
Lylou
Merci Bisous bon début de weekend
Bonjour Renée,
deux beaux récits bien écrit.
Passe une bonne fin de semaine, gros bisous,
Nadine
Merci Bisous bon début de weekend
un poème qui décrit remarquablement la peur et ses effets
un poème ensuite qui accompagne si bien la fugue de cet ado
un texte enfin où le fantastique rejoint l’effroi
bises et belle journée
Merci Bisous bon début de weekend
Ils sont intéressants les écrits sur la peur ! Bon weekend, bisous
Merci Bisous bon début de weekend
Bonjour René. Le poème sur la peur est assez effrayant. Je ne crois pas que l’on devienne Roi ou Reine lorsque l’on meurt. Ta participation autour de « Fuyant la critique » me plait bien. Bonne journée et bisous
Merci Bisous bon début de weekend
Comme on dit; paralysé par la peur !
à samedi, bisous
Merci Bisous bon début de weekend
étais ce un rêve ou un cauchemar ? !!! bon jeudi bisous !
??? Merci Bisous bon début de weekend
Bonjour Renée, j’ai vu sur son lit de mort mon premier défunt à l’âge de 12 ans… une voisine, je n’ai pas eu peur, la personne dormait, paisiblement… Mais dans la vie on connaîtra tous une peur !! Merci, bises jill
Moi un prêtre au pensionnat j’avais 14-15 suis encore traumatisée, Merci Bisous bon début de weekend