Vous arriver seulement?
Alors
le début du voyage est souligné en rose et,
la suite est ICI
A peine 07H00 je suis réveillée, Chipie à envie de sortir moi d’un café et de voir le soleil se lever,
allez hop direction le bar-restaurant avec quelques haltes pour ma
Chipounette.
Tout est encore sombre,
les oiseaux commence à gazouiller je m’installe avec mon café et sort mon APN. Quelques clichés et tasses plus tard
voici Jean nous déjeunons donc puis doucement vers 08H00 Van et Jo montre le bout du nez.
Notre déjeuner fini je file prendre une douche (je ne voulais pas réveiller Jean qui pour une fois à fait grasse
matinée !)
He oui d’habitude il est debout vers 05H00 !
Les préparatifs ont été fait pour le pique-nique ne reste qu’à demandez les boissons.
Tout est amener à l’embarcadère chargé et zou départ, il est 09H00
Direction en premier DJINACK (BARA). Village de pêcheur situé aux portes de l’océan Atlantique non loin de la
frontière Gambienne.
Ce village fut un comptoir commercial au début du siècle, on y voit de nombreux bâtiments coloniaux. La
population y est accueillante et fier de nous montrer le nouveau poste de santé ( http://pharmaciens-sans-frontieres.lu/?p=61 ). Aménager
de chambre équipée pour garder malade et famille au besoin, d’une salle de pansement et d’une de consultation.
La personne en charge de ce dispensaire y vit et y travaille bénévolement, pour l’instant.
Le village possède aussi sa pirogue ambulance, en effet il n’est pas rare qu’il faille aller chercher des
blessés ou malade le long du fleuve. Ils peuvent aussi, de cette manière les évacuer au besoin, vers la Gambie ou se situe l’hôpital le plus proche.
Beaucoup de culture en dehors du village qui utilise aussi la main d’œuvre Gambienne en saison.
Ces gambiens sont content de trouver du travail au Sénégal.
Les villageois parlent presque tous aussi l’Anglais. La Gambie est Anglophone alors que le Sénégal et
Francophone est pourtant sans aller à l’uni ils se parlent se comprennent collaborent et en sont heureux, jusqu’à parfois se marier entre eux.
Le village possède aussi sa propre machine à piler le grain et est pourvue en électricité depuis peu.
J’ai aussi été très étonnée du nombre de toilette en construction dans tous le village, en effet les habitations
n’en possédant pas ou très, très peu, ils pallient se manque par des bâtiments externe.
Djinack Bara a aussi son école primaire http://www.facebook.com/pages/Ecole-Primaire-de-Djinack-Bara/148987341808728 mais lors de notre passage et en
raison de la grève des transports qui n’a pas permis au maitre d’arriver jusque là pendant quelque jours, les enfants n’avait pas classe. Ils ont tous été subjugué par Chipie comme vous avez pu
voir !
Derrière toutes ces améliorations se cachent bien sûr de généreux donateurs et personne donnant de leurs temps
comme eux : http://voyagedumonde.kazeo.com/nos-projets-au-senegal-djinack-bara/nos-projets-au-senegal-djinack-bara,r1537341.html
ils donnent du temps, des moyens afin que ce village vive.
Je les salue très, très bas car, ce village au bout du monde aurait pu mourir faute de ressources.
Notre visite terminée nous passons par la boutique afin d’acheter des bonbons aux enfants qui d’ailleurs savent
très bien que la distribution va commencer et se mettent en rang bien sagement (enfin presque).
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Photo album personalized with Smilebox |
Le fils du chef de village me précise que cela n’est pas bon pour leurs dents (ça je sais mais je suis contente
qu’il en ait conscience car c’est quand même lui qui nous y a inciter, nous n’avions aucun matos autre avec nous ne sachant pas ce que nous trouverions dans ce village) ils n’en recevront qu’un
par enfant, il ne s’agit pas de se gaver.
Je crois que l’autre partie de l’excursion devras faire objet d’un autre article, je vous (me) sens fatigué(e)s d’avoir cliquer de ci de
là !
On reprend la pirogue pour nous rendre sur l’autre rive du Bandalia et accoster à Leba d’où, nous voyons le
village de Djinack….
Voguons gaiement jusqu’au prochain épisode.
Si vous voulez bien.