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Besançon du 22 au 30 septembre 2012
Le lendemain matin je descends vers 08H15 et découvre mon cousin déjà debout, le café est prêt et ça fait du bien.
Petit à petit tous le monde émerge de cette longue soirée (un peu chargée il faut bien dire) car mis à part l’apéro vin et digestif nous avons
superbement bien mangé…
Un énorme plat avec diverses saucisses (Morteau entre autres) et fromages du pays, salade croquante et pomme vapeur, un régal !
Même, le meilleur restaurant étoilé n’aurait pu me faire plus plaisirs….C’est dire
Mais ce matin, le temps lui fait la tête il pleut c’est gris. Qu’importe tellement de choses à se remémorer, découvrir, que le temps file à une
allure folle….
Nous allons quand même nous décider dans l’après midi d’aller sur le caveau de ma famille paternelle visite qui pour moi est impérative, j’ai envie
de *voir et parler* à mon père, et aux autres membres de ma famille.
Revoir aussi cette cité qu’ils habitaient, la maison dont je me souviens encore du numéro, 45
et ou, j’ai des merveilleux souvenirs même si, les dates sont confuses.
Entre autres les jardin en face des maisons ou nous construisions des petites maisons avec ces cerceaux et de la mouse coupée dans les forêt
alentours, pour le lapin de Pâques. Ces jardin qui donnaient tant de charme à mon regret, n’existe plus.
Ceux du bord du Doux ou mon oncle et parrain faisait pousser les haricots, le lavoir.
Bref toutes ces petites choses de la vie courante
C’est la cité des papeteries de Boussière.
Revoir le village
proprement dit ou nous montions à pieds ou vélo pour aller le dimanche à la messe dans cette église
Un peu d’histoire :
On trouve trace de l’église Saint-Étienne dès 1092. Il ne subsiste, de l’époque, que le clocher, trace peu fréquente de l’art roman en
Franche-Comté.
Le curé de Boussières, Jean d’Orchamps, fit construire le porche entre 1562 et 1584, date gravée sur la pierre au-dessus de la clé de voûte de
la porte. La clef de voûte de ce porche, voûté en croisée d’ogives, porte les armes de la famille d’Orchamps.
Quant à la nef, après s’être effondrée, elle fut rebâtie en 1787. On trouve dans l’édifice, dans l’angle Nord-Ouest, la première pierre de la
restauration ; elle porte l’inscription « C. Chauvey, curé, 1737 ».
Le clocher et le porche fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 9 septembre 19131.
(P.S.) je viens à peine de découvrir cet article et de merveilleuse photos alors cliquer http://rvall.over-blog.com/article-l-eglise-saint-etienne-de-boussieres-25-84861314.html
Puis sur le retour nous rendons visite à ma tante et marraine
que je n’ai elle aussi, pas revu depuis plus de 51 ans…
J’y apprends des détails de ma vie d’enfant, qui me manquaient tant, des voiles se déchirent…Enfin
Mais, l’émotion même à la narration de cet épisode, de ces retrouvailles et telle que je suis obligée de terminer cet article
aujourd’hui !
Eh oui, on se dit citoyens du monde,
de n’avoir que pour patrie comme je l’ai toujours dis en grec όπου ζείs καιΠ ατρίδα
(ou tu vis c’est ta patrie)!!!???
Je me rends compte aujourd’hui, que je suis profondément viscéralement attachée à ce village et que, le jour ou…
J’aimerai y reposer, dans les bras de ma famille.
Qu’on est bête quand on est plus jeune !
[…] C’est mon Cousin qui vient avec sa femme (article) […]
Article émouvant ! bonne journée
c’est normal d’être attachée à ses racines!
ton post est émouvant.
j’ai moi aussi voulu retourner où j’ai passé mon enfance, c’est toujours émouvant!
bisous du samedi.
un séjour émouvant- éprouvant aussi sentimentalement-
on a beau déménager, on a tout de même des racines ancrées à certains endroits forts !!
bon week-end- bisous Renée-
Hello Mimi
Tu sais , les restaurants étoilés ne sont pas ce que je préfére ! Quand tu sors la plupart d’entre eux , tu est mort de faim ….
bisous
pat
Encore une belle histoire pour cette balade, merci beaucoup de nous emmener avec toi ! Gros bisous
Non Renée on est pas bête quand on est jeune et l’idée d’y dormir éternellement un jour non plus…. Je t’embrasse, jill, merci !