Pour faire au moins une fois plaisirs à Lady, voici une *participation* (bien grand mot) à un de ces défis.

Le tableau du samedi.

Il me faut bien avouer que la peinture en elle-même me laisse froide, ma connaissance est nulle, en plus, non appréciée à juste valeur.

Mettre un tableau sur un mur va complètement à l’encontre des mes gouts où, du style de mon environnement.

Les seuls qui trouve grâce à mes yeux sont ceux d’illustres inconnus, pour autant qu’il soit, de forme modulable comme ci-dessous.

Voir même comme ceux-ci, pour lesquels je craque facilement

Le noms des auteurs ou renommée n’as aucune importance, c’est l’impression qui s’en dégage qui est importante. Les scènes africaines sont tirée de la vie réelle, les forme toujours assez fluides, les femmes particulièrement élancées comme attirée vers le ciel.

Les tableaux de style abstrait et modulable, comme plus haut où, ceux que vous pouvez voir ICI, donne une autre dimension à une pièce.

Un tableau est, pour ma part, fait pour enjoliver un endroit de vie. Un musée n’est pas un endroit de vie, ce n’est qu’un lieu d’intérêt où contemplatif.

Alors parler d’un tableau Lady cela m’est impossible, par contre montrer mes gouts oui, voilà qui est fait avec cette participation qui ne répond sans doute pas complètement à ta demande.

Pourtant, les aquarelles elles, parlent à mon âme en suggérant plus qu’en ne montrant le sujet

Ce sont toujours des œuvres douces au regard, comme celle ci-dessus de l’aquarelliste vendéen Maurice Fillonneau (1930-2000) . Un très bel article lui est consacré ICI.

Une blogueuse aussi fait de jolies aquarelles Aquarellement Votre, mon beau-père en faisait,

comme que d’autres que vous découvrez sur cette page ICI

Pour l’atelier d’écriture No 5  de Fée Capucine:

Les mots 8 imposésPlonge… roseau… glisse… rigole… évapore… goutte… flaque… évade.

Imbriquer dans le défi de Ghislaine

(des mots des phrases des thèmes)  N0 15, avec pour thème cette image

Elle longe la berge admire en passant les roseaux qui luisent au soleil couchant avec les gouttes qui ne s’évapore pas au soir couchant.

Elle évite les flaques formée par la dernière pluie.

Elle arrive enfin au petit pont, lieu de leur rendez-vous. La nuit tombe doucement elle plonge son regard dans l’obscurité, son esprit s’évade ébauche mille retrouvailles.

Elle marche comme quelqu’un qui glisse sur le sol en souriant, puis rigole à gorge déployée tant elle est heureuse.

Dès que la nuit sera tombée, elle se jettera encore une fois dans ces bras, sur ce petit pont devenus leur complice…..

Cela fait un peu beaucoup j’avoue, mais comment faire plaisirs à toutes?

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