Aller au contenu

Lady

Poésie et scène de rue (37)

Cliché pris à Besançon, depuis le bateau mouche en 2005   On croit n’en avoir plus souvenir Des images, mots, éclats de rires Insidieusement ils viennent nous titiller Ces moments chéris du passé Ce fut peut-être un regard Un texte sur la toile, sous avatar Que ce fut pour un jeu un défi Dans la mémoire ne vient l’oubli Pour ces moments souvent pleins d’humour Avec vos calembours Pour votre confiance Lors de certaines confidences Même si, nous ne nous étions jamais vus Les pensées volent vers  le temps et ces êtres, à jamais disparus. Pour cette poésie du mardi j’ai souhaité rendre hommage aux êtres trot tôt envolés et les moments du passé. avec ce texte de mon cru. (@Lydie-Renée-Josiane-Cathy et tout les autres) et bien sûr participation à de Covix

Poésie du mardi et scène de rue (36)

En avion de Gildas Feré Mes mots ont pris l’avion De trois heures moins le quart. Mes mots ont pris l’avion Par amour et par hasard Un concours de circonstances Par inadvertances, Mes mots se sont glissés Quelle chance ! Dans les bagages Dans les effets D’une hôtesse de l’air Un peu distraite. Une hôtesse de l’air Un peu tête en l’air Quoi de plus normal Pour une hôtesse D’avoir la tête dans les nuages D’avoir la tête dans les éclairs Elle a ouvert mes mots Elle a ouvert ma lettre Elle a ouvert son cœur Et elle a dit peut-être. (extrait de «  Les mots décollent ») P.S. Né en 1973 à Rouen, Gildas Feré écrit pour la jeunesse (« Les mots décollent »  Ecole des Loisirs), la radio (France Culture). Il a obtenu le 1er prix du Concours International de nouvelles au Salon du livre de Paris en 2002. La Soustraction » est son premier roman. On pense bien à toi Lady        C’est aussi une participation pour Covix et sa scène de rue     Il est bien là….

Poésie du mardi et scène de rue (35)

Le ciel est à moi J’étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumière Et voilà que je pars vers l’univers Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L’infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux !J’étais sans vie et sans voix L’âme pleine de « pourquoi » Perdu dans les silences et dans le mots Quelle est la raison des choses Des galaxies et des roses ? On le sait quand on sait Que tout est beau Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L’infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux !J’étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de… Lire la suite »Poésie du mardi et scène de rue (35)

Tristesse….

Je viens de voir sur le blog de Violette (https://violetteruer.blogspot.com/2019/11/abecedaire-des-animaux-du-monde-grue-et.html) que notre amie Lydie est décédée dans la nuit de vendredi et samedi 22-23 novembre 2019 à 1 heure du matin. Sincères condoléances à sa famille, ses amis. Repose en paix Lydie

Scène de rue et poésie du mardi (34)

Au bord du quai de Émile Verhaeren (1855-1916) Et qu’importe d’où sont venus ceux qui s’en vont, S’ils entendent toujours un cri profond Au carrefour des doutes ! Mon corps est lourd, mon corps est las, Je veux rester, je ne peux pas ; L’âpre univers est un tissu de routes Tramé de vent et de lumière ; Mieux vaut partir, sans aboutir, Que de s’asseoir, même vainqueur, le soir, Devant son oeuvre coutumière, Avec, en son coeur morne, une vie Qui cesse de bondir au-delà de la vie. C’est ma participation à la poésie de Ladyen espérant qu’elle aille déjà un peu mieux et à qui on souhaite bon rétablissement. Mais aussi àscène de rue de Covix